projekte

renature

Soutenir les insectes dans leur développement

Les insectes jouent un rôle central dans le réseau alimentaire terrestre. Ils remplissent en outre de nombreuses tâches dans l'équilibre naturel. Dans l'agriculture, ils servent par exemple à la pollinisation de nombreuses espèces cultivées. Ce qui est moins connu, c'est le rôle de nombreux insectes en tant que prédateurs spécifiques de certaines espèces de parasites. Il est important de favoriser les insectes afin de rétablir l'équilibre entre les insectes utiles et les insectes nuisibles, ce qui permet d'économiser des produits agrochimiques. Les bandes fleuries dans les paysages agricoles sont en principe une très bonne mesure pour promouvoir la biodiversité des insectes et donc les maillons suivants de la chaîne alimentaire. Cela permet non seulement d'améliorer la performance des pollinisateurs, mais aussi de favoriser la formation de sols fertiles, ce qui peut en fin de compte entraîner une augmentation des rendements dans la production agricole. En ce qui concerne l'entretien de ces bandes fleuries, il convient toutefois de noter qu'il existe un potentiel d'amélioration considérable. Le broyage des cultures, en principe nécessaire, peut, selon le moment où il est effectué, avoir un effet négatif considérable sur les propriétés fondamentalement positives des bandes fleuries en tant qu'habitat pour les insectes utiles. Cela est probablement dû à la perte d'habitats d'hivernage pour les insectes qui hibernent à la surface du sol ou sur des parties de plantes. Ces potentiels inutilisés de promotion de la biodiversité doivent être mieux exploités. Dans le cadre du projet, on observera pendant deux ans l'évolution du nombre d'éclosions d'insectes lorsque l'entretien des bandes fleuries, ou plus précisément le paillage, est reporté à la fin du printemps, alors qu'il a lieu actuellement en automne. Cela permet d'évaluer les différents moments de paillage et d'en déduire la meilleure gestion possible. Les chiffres recueillis seront utilisés pour sensibiliser les agriculteurs et les élèves des écoles d'agriculture à cette thématique. En outre, il est possible d'utiliser cette thématique spécifique pour informer de manière générale sur l'importance des insectes dans l'équilibre naturel.
2024-2026
Avec le soutien de l'Œuvre Nationale.

agroforst

Chance für eine zukunftsfähige Landwirtschaft in Zeiten des Klimawandels

Die Bewirtschaftung von landwirtschaftlichen Flächen steht angesichts zunehmender Wetterextremereignisse, ausgelöst durch den Klimawandel, vor großen Herausforderungen. Eine Möglichkeit den sich rasch verändernden Umweltbedingungen gerecht zu werden, ist die Etablierung von Agroforstsystemen. In Agroforstsystemen werden Einzelbäume oder Baumstreifen in landwirtschaftlich genutzte Flächen integriert. Im Vordergrund steht dabei weiterhin die landwirtschaftliche Nutzung der Fläche. Ergänzt wird diese durch die Vorteile und Nutzungsmöglichkeiten des forstlichen Anteils des Systems. Während über Jahrhunderte Bäume von den Äckern entfernt wurden, eröffnet der Agroforst heute neue Perspektiven: Erosions- und Windschutz, Wasserrückhalt, Kohlenstoffsequestrierung im Boden, Schatten für Weidetiere und Förderung der Biodiversität. Dies bringt neben ökologischen Vorteilen auch den Landwirten Vorteile und weitere Nutzungsmöglichkeiten. In Deutschland sind bereits bedeutende Fortschritte in der Praxis der Agroforstwirtschaft zu verzeichnen. Luxemburg steht noch am Anfang der Entwicklung dieser nachhaltigen Landnutzung. Das Projekt wird damit Wegbereiter für die Etablierung erster Agroforstsysteme hierzulande. Um fundierte Entscheidungen bei der Anlage zu treffen, ist eine umfassende Analyse der Bodeneigenschaften unabdingbar. Diese umfasst unter anderem die durchwurzelbare Tiefe des Bodens, die Bodenart und den Bodentyp und somit auch die hydrologischen Eigenschaften des Bodens. Diese Faktoren, im Kontext mit den spezifischen Bedürfnissen und Gestaltungswünschen der Betriebe, beeinflussen nicht nur die Auswahl der Baumarten, sondern auch Ausgestaltung der Anlage der Agroforstfläche.
2023-2026
Klimafond des Ministère de l'Environnement, du Climat et de la Biodiversité

vision 2050

Vision 2050 - Vision d'une agriculture 100% biologique au Luxembourg en 2050 : résilience, impact environnemental et transition alimentaire

L'agriculture est confrontée à des défis environnementaux majeurs aux niveaux mondial, national et local. Les avantages environnementaux de l'agriculture biologique et son potentiel pour relever ces défis sont scientifiquement reconnus. Le gouvernement précédent, avec son objectif de 100 % d'agriculture biologique d'ici 2050, mais aussi l'objectif de l'UE d'atteindre 25 % d'agriculture biologique d'ici 2030, ont jeté les bases d'une stratégie pour un système alimentaire durable avec le potentiel d'une bonne adaptation au changement climatique. Il manque toutefois une vision sur la manière dont la transition peut se faire et une analyse approfondie des défis qui y sont liés. Le projet VISION 2050 modélisera une série de scénarios pour la transition de l'agriculture luxembourgeoise vers différentes proportions jusqu'à une production 100% biologique. Il a pour objectif de développer un système agricole et alimentaire écologique luxembourgeois durable en 2050, en tenant compte du changement climatique et des conditions environnementales. Le point de départ est l'analyse du scénario de base du système agricole actuel en 2020, qui est ensuite extrapolé à l'année 2050 en tenant compte du changement climatique, ce qui donne un scénario de référence pour 2050. Une série de scénarios de conversion à 100 % à l'agriculture biologique est ensuite analysée, parfois complétée par d'autres stratégies, telles que les systèmes alimentaires circulaires, la réduction du gaspillage alimentaire ou la diminution des aliments concentrés. Outre cette conversion complète, des scénarios adaptés sont modélisés pour illustrer le potentiel de parts plus faibles de l'agriculture biologique. Ceux-ci se produisent par exemple sur le chemin de la reconversion complète ou correspondent à l'objectif plus bas de l'UE. La spécification des scénarios est réalisée en étroite collaboration avec les principales parties prenantes et le conseil scientifique international du projet. Différents indicateurs de durabilité seront analysés pour tous les scénarios, en mettant l'accent sur les compromis et les synergies entre eux. En étroite collaboration avec les parties prenantes, les scénarios les plus prometteurs seront identifiés pour un avenir avec des pourcentages plus élevés, voire entièrement biologiques, de l'agriculture au Luxembourg. Afin de relier cette analyse de scénarios au niveau des exploitations agricoles, des exploitations typiques seront identifiées pour la situation de départ actuelle et l'avenir souhaité avec des pourcentages plus élevés d'agriculture biologique, afin d'illustrer ce que ces changements pourraient signifier pour les exploitations et la structure du secteur agricole. Le résultat du projet sera une vision pour une agriculture durable, jusqu'à 100 % biologique, au Luxembourg en 2050. Cette vision tiendra compte, entre autres aspects de la durabilité, de la performance d'adaptation au changement climatique et de l'impact du changement climatique. Ces résultats fourniront au Luxembourg des orientations sur la manière de concevoir un futur système alimentaire durable.
2024-2027
Ce projet de recherche est financé par le Fonds national de la recherche luxembourgeois (FNR), code de subvention [C23/SR/179444413], l'OEuvre Nationale et le Fonds national suisse.

hartweizen und teigwaren aus luxemburg

Aufbau einer Wertschöpfungskette vom Anbau von Hartweizen und der Weiterverarbeitung zu Teigwaren

Der Anbau von Hartweizen (Triticum turgidum subsp. Durum), auch Durum genannt, beschränkt sich in Europa auf die Mittelmeerregion und angrenzende Gebiete. In Nordamerika wird der Hartweizen jedoch auch in nördlicheren Lagen angebaut, welche über geringe Niederschläge und höhere Temperaturen verfügen. Durch Zuchterfolge und zunehmende Trockenheitsperioden wie auch Temperaturanstiege ausgelöst durch den Klimawandel, wird der Anbau des Hartweizens auch in nördlicheren Lagen Europas möglich. Was den Hartweizen so attraktiv macht, ist der aus ihm gewonnene Gries. Dieser zeichnet sich durch einen hohen Eiweiß- wie auch Glutengehalt aus, weshalb er sich optimal für die Teigwarenherstellung eignet. In Luxemburg gibt es derzeit keinen ertragreichen Hartweizenanbau, obwohl die Nachfrage nach dessen Produkten steigt. Hinzu kommt, dass die Hartweizenproduktion in Europa defizitär ist, was es folglich zu einem Nischenprodukt macht und sich deshalb eine äußerst gute Vermarktungsmöglichkeit des Hartweizens anbietet. Infolgedessen wurde im Rahmen des „Plan d‘action nationale de l‘agriculture biologique PAN-Bio 2025“ das Projekt „Aufbau einer Wertschöpfungskette vom Anbau von Hartweizen zur Weiterverarbeitung zu Teigwaren“ aufgestellt. Im Rahmen des Projekts ist geplant, ein neues Teigwarenprodukt mit einem möglichst hohen Anteil an Luxemburger Hartweizen auf den Markt zu bringen. Dadurch wird nicht nur die Palette an Luxemburger Bio-Lebensmitteln erweitert, sondern auch eine Absatzmöglichkeit für bio-zertifizierte Eier geschaffen, die aufgrund abweichender Kalibrierung nicht im Handel angeboten werden können. Ziele dieses Projektes sind also die Ermutigung für den Anbau des Hartweizens und eine kompetente Beratung von Anbau bis zur Vermarktung. Zusätzlich sollen langfristige Lösungen gefunden werden für eine fachgerecht Lagerung, Säuberung und Selektion nach Qualität. Zuletzt sollte ein angemessener Preis für den Hartweizen sichergestellt werden, welcher zusätzliche Kosten wie Säuberung, Trocknung, Lagerung und Transport entlohnt.
2024-2027

lefasus

Investigation of soil fatigue of legumes for a sustainable expansion of European grain legume cultivation

Au cours des dernières décennies, des efforts ont été déployés pour promouvoir la culture de légumineuses, en particulier de légumineuses à grains telles que les pois, les féveroles, le soja ou le lupin, afin de réduire l'utilisation d'engrais azotés minéraux, d'accroître la biodiversité, de réduire la dépendance vis-à-vis des protéines fourragères importées et d'améliorer les propriétés biologiques et la teneur en humus des sols. La culture de légumineuses à grains n'est toutefois pas encore très répandue. L'une des principales raisons en est la « fatigue des légumineuses », qui réduit les rendements des légumineuses à grains et limite l'expansion de la culture des légumineuses dans de nombreuses régions européennes. Les causes exactes de la fatigue des légumineuses ne sont pas connues, mais on pense que les maladies transmises par le sol, en interaction avec des facteurs abiotiques, jouent un rôle clé. Des résultats récents indiquent que l'équilibre entre la charge des agents pathogènes et la suppressivité du sol est crucial. Dans certaines exploitations et/ou régions, la fatigue des légumineuses ne pose pas de problème, alors que dans d'autres, elle limite fortement la production de légumineuses. Les raisons de ces différences ne sont pas encore totalement élucidées, mais il est urgent d'en identifier les causes en tenant compte des facteurs biotiques et abiotiques. L'objectif de ce projet est donc d'identifier les principaux facteurs causaux et indicateurs de la fatigue des légumineuses dans un grand nombre d'environnements européens. Dans ce contexte, des indicateurs faciles à mettre en œuvre seront développés pour évaluer le risque de fatigue des légumineuses, y compris la suppression du sol en plus de la charge pathogène. Des propositions de mesures agronomiques visant à prévenir ou à réduire la fatigue des légumineuses seront élaborées et une base sera établie pour de nouvelles recherches ciblées.
2024-2027
Soutenu par l'Œuvre Nationale et le Fond National de la Recherche (FNR) dans le cadre du GreenERAHub

organicyieldsup

Verbesserung der Erträge in ökologischen Anbausystemen

Mit dem Europäischen Green Deal, der Strategie „Vom Erzeuger zum Verbraucher“ und der Strategie zur Erhaltung der biologischen Vielfalt will die EU das Ziel erreichen, dass bis 2030 mindestens 25 % der landwirtschaftlichen Nutzfläche in der EU ökologisch bewirtschaftet werden. Dies bedeutet eine Verdreifachung der derzeitigen ökologischen Anbaufläche, wobei schätzungsweise 700.000 Landwirte in den ökologischen Sektor einsteigen werden. Eines der Hindernisse für die Umstellung auf den ökologischen Landbau sind die geringeren Hektarerträge im ökologischen Landbau im Vergleich zum konventionellen Landbau. Daher ist die Verbesserung der ökologischen Erträge eine zentrale Herausforderung für den ökologischen Sektor, die jedoch auf der Grundlage der Grundsätze des ökologischen Landbaus erreicht werden muss. Vor diesem Hintergrund ist das übergeordnete Ziel des Projekts, durch eine umfassende und strukturierte Zusammenstellung und Bewertung des vorhandenen Wissens zu einer nachhaltigen Steigerung der Erträge in ökologischen Anbausystemen beizutragen und Strategien für nachhaltige Auswirkungen zu entwickeln, die für Interessengruppen und die Politik relevant sind. Dabei wird ein europaweites Netzwerk von Versuchs-, Experimentier- und Demonstrationsstandorten aus 11 Regionen/Ländern aufgebaut, die ein breites Spektrum an bodenklimatischen und strukturellen Bedingungen repräsentieren. Das Projekt bringt Akteure aus Wissenschaft und Praxis zusammen, um gemeinsam über Strategien zur ökologischen Ertragssteigerung nachzudenken. Hierraus werden Empfehlungen für die künftige Forschungsagenda und die Entwicklung von EU-Politiken für den ökologischen Landbau erarbeitet. Die Ergebnisse des Projekts werden öffentlich zugänglich sein und an Akteure innerhalb und außerhalb der ökologischen Gemeinschaft weitergegeben werden.
2024-2028
HORIZON-CL6-2023-FARM2FORK-01-3

precision

Fortgeschrittenes maschinelles Lernen für die drohnengestützte Präzisionslandwirtschaft: Optimierung des Weizenertrages durch angepasste Stickstoffdüngung und Beikrautkontrolle

Das Projekt PRECISION zielt darauf ab, ein Entscheidungshilfeinstrument zu entwickeln, das Landwirtinnen und Landwirten bei der Anpassung der Stickstoffdüngung während der Vegetationsperiode helfen kann, was zu nachhaltigeren landwirtschaftlichen Praktiken mit geringerer Auswaschung und Verflüchtigung von Stickstoffverbindungen aus dem Ackerland führt. Um diese Herausforderungen zu bewältigen und die landwirtschaftliche Produktion widerstandsfähiger und nachhaltiger zu machen, ist ein Paradigmenwechsel in der landwirtschaftlichen Praxis dringend erforderlich. Ein Großteil dieses Wandels kann nur durch Präzisionslandwirtschaft (PA) erreicht werden, bei der fortschrittliche Fernerkundungstechnologien zum Einsatz kommen, darunter unbemannte Luftfahrzeuge (UAVs), die mit Light Detection and Ranging (LiDAR) und Hyperspectral Imaging (HSI) ausgestattet sind. Die Datenverarbeitung wird über eine Kombination von etablierten Methoden (ML, DL) und künstlicher Intelligenz realisiert. Auf der Grundlage dieser Datensätze wird PRECISON effiziente und innovative PA-Methoden unter Verwendung von Algorithmen des maschinellen und tiefen Lernens entwickeln, die von den am Projekt beteiligten Landwirtinnen und Landwirten sofort angewendet werden können.
2024-2027
Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et de la Viticulture und Fond National de la Recherche (FNR)

legendary

Das Hauptziel von LEGENDARY ist es Barrieren zu überwinden, die der Attraktivität von Leguminosen in den Anbausystemen Europas hinderlich sind. LEGENDARY hat sich zum Ziel gesetzt, Werkzeuge und Methoden zu entwickeln die wesentlich über den aktuellen Stand der Technik hinausgehen, um die Ökosystemdienstleistungen von Leguminosen in unterschiedlichen Klimazonen zu messen. LEGENDARY wird intensive Netzwerke von Interessengruppen aufbauen, inklusive der Wertschöpfungskette, BeraterInnen und LandwirtInnen, um sicherzustellen, dass die Ergebnisse des Projektes in die Praxis einfließen. LEGENDARY wird signifikant zu einer größeren Anbauvielfalt und abwechslungsreichen Anbausystemen in der EU und den angegliederten Ländern beisteuern.
2024 – 2027
Soutenu par l'Union européenne (project 101135494) et l'Œuvre Nationale.

legu-wsk

Förderung der Wertschöpfungskette von Körnerleguminosen zur Humanernährung in Luxemburg

Die hohen Preise für Betriebsmittel, sowie deren schwankende Verfügbarkeit aufgrund globaler Konflikte und Wetterereignissen, verdeutlichen die Notwendigkeit einer betriebsinternen Nährstoffversorgung der landwirtschaftlichen Nutzflächen. Hierbei spielen Körnerleguminosen eine wichtige Rolle als Vorfrucht und Gründünger, da sie die Fähigkeit besitzen durch Rhizobien den Ackerboden mit Stickstoff anzureichern (Del Pozo & Mera, 2021). Aktuell werden Leguminosen vor allem als Futtermittel verwertet, obwohl ihr Einsatz aufgrund der antinutritiven Inhaltsstoffe sowie des hohen Stärkegehaltes im Vergleich zum Proteingehalt nicht immer praktikabel ist. Jedoch haben vor allem grobkörnige Leguminosen auch das Potenzial, für die Humanernährung genutzt zu werden. Während Leguminosen als Lebensmittel ein wachsendes Interesse von VerbraucherInnen und Medien erfahren, besteht zurzeit in Luxembourg noch keine Wertschöpfungskette für deren Verarbeitung. Allerdings gibt es bereits eine Initiative, Protein von in Luxembourg angebauten Leguminosen zur Herstellung von Fleischersatzprodukte zu verwenden. Projektziel ist es, diese Entwicklung zu fördern und gleichzeitig weitere Verarbeitungsmöglichkeiten für grobkörnige Leguminosen zu ermitteln. Da verschieden Leguminosen unterschiedliche Ansprüche an ihren Standort stellen, werden Arten mit sehr verschiedenen Ansprüchen ausgewählt. Dadurch soll gewährleistet werden, dass LandwirtInnen, unabhängig von der Lage ihrer Flächen, an dem Projekt teilnehmen können.
2023-2026
Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et de la Viticulture

bio-wsk lux

Charakterisierung der Hauptwertschöpfungsketten der biologischen Landwirtschaft in Luxemburg

Das Ziel der Regierung ist es, den Anteil der biologisch bewirtschafteten Flächen in Luxemburg von aktuell ca. 6% bis 2025 auf 20% zu steigern, um die grüne Ausrichtung der EU-Politik in Luxemburg mitzugestalten. Damit die von der Regierung angestrebte Quote von 20% biologisch bewirtschafteter Fläche erreicht werden kann, muss sichergestellt sein, dass die inländischen Vertriebskanäle die gesteigerten Produktionsmengen aufnehmen, verarbeiten und vermarkten können. Deshalb wird in diesem Projekt zum ersten Mal eine vollständige Bestandsaufnahme der Ist-Situation der Wertschöpfungskette für biologische Lebensmittel hinsichtlich Produktion und Vertrieb durchgeführt. Die gewonnen Daten werden quantitativ und qualitativ analysiert, um die verschiedenen Betriebe vergleichend auszuwerten. Weiterhin werden semi-strukturierte Interviews mit Stakeholdern auf Ebene der Verarbeitung und des Vertriebs durchgeführt. Hierbei wird besonders darauf geachtet, dass die Vielzahl an verschiedenen Betriebsformen, von Direktvermarktung über Gemeinschaftsverpflegung bis zum Einzel- und Großhandel, durch die Interviews abgebildet wird. Auf Basis der qualitativen Analyse der Fragebögen sowie Best-Practice Beispiele aus dem In- und Ausland wird ein Katalog von Handlungsempfehlungen für jeden Betriebstyp erstellt. Gemeinsam mit dem Ministère de l’Agriculture et de la Viticulture und den beteiligten Stakeholdern werden die verschiedenen Handlungsempfehlungen, unter Berücksichtigung diverser Aspekte wie Verbesserungspotenzial, Umsetzbarkeit und Kosten priorisiert. Diese Einordnung dient als Grundlage, um das bestehende Potenzial der Wertschöpfungskette für biologische Lebensmittel in Luxemburg optimal zu nutzen und die zukünftige Ausrichtung effizient zu steuern.
2023-2024

tassili

Biotechnologie zur Bekämpfung von Pilzinfektionen mithilfe von Saponinen aus Hülsenfrüchten

Die schädlichen Auswirkungen von Pestiziden werden von der Öffentlichkeit zunehmend wahrgenommen und die Akzeptanz sinkt. Für Landwirtinnen und Landwirte bedeutet dies, dass immer weniger Mittel zur Produktionssicherung zur Verfügung stehen. Studien zeigen jedoch, dass ein Verbot des Einsatzes von Fungiziden zu einem Rückgang der landwirtschaftlichen Produktion führt, wodurch die Notwendigkeit, eine wachsende Weltbevölkerung zu ernähren, weiter gefährdet wird. Aus diesem Grund werden große Anstrengungen unternommen, um neue, umweltfreundliche Fungizide zu finden, und es wird nach diesen in Bakterien, Pilzen und Pflanzen gesucht. Pflanzen können vor ungünstigen Bedingungen nicht davonlaufen, aber sie haben im Laufe der Evolution eine Reihe von Mechanismen entwickelt, die es ihnen ermöglichen, ungünstige Bedingungen zu überleben, einschließlich der Exposition gegenüber Krankheitserregern. Einer dieser Mechanismen ist die Synthese und Akkumulation kleiner Moleküle, welche die Pflanzen vor Infektionen schützen können. Zu diesen Verbindungen zählen die Saponine. Sie sind bekannt dafür, dass sie Pflanzen vor Pilzinfektionen bewahren können. Allerdings produzieren nicht alle Pflanzen die gleichen Saponine, und dies in unterschiedlichen Mengen, und auch nicht alle Pilze sind gleich empfindlich gegenüber Saponinen. Die Auswertung von Daten aus früheren Projekten führte zur Identifizierung von Saponinen in Stängeln verschiedener Fabaceae. Zudem wurde festgestellt, dass die Bedingungen, unter denen diese Pflanzen wachsen, ebenfalls einen Einfluss auf die Zusammensetzung des Saponinpools dieser Pflanzen haben. Auf dieser Grundlage wird TASSILI Daten für weitere Studien zur Herstellung von Fungiziden auf Saponinbasis aus lokal angebauten Fabaceae (Luzerne, Erbse, Soja- und Ackerbohne) liefern. Die Extrakte werden aus verschiedenen Sorten der genannten Pflanzen hergestellt. Dadurch entsteht eine Reihe von Extrakten mit unterschiedlicher Zusammensetzung und damit potenziell unterschiedlicher fungizider Wirkung gegen pflanzenpathogene Pilze. Die Wirksamkeit dieser Extrakte wird gegen einige gängige pflanzenpathogene Pilze getestet: Botrytis cinerea (ein Grauschimmel im Weinbau), Fusarium graminearum (Ährenfusarium) und Zymoseptoria tritici (Septoria-Blattdürre), zwei wichtige Krankheitserreger im Getreideanbau. Durch die Prüfung einer Reihe von Extrakten gegen diese Pilze wird TASSILI eine Korrelation zwischen der Zusammensetzung der Extrakte und der gemessenen fungiziden Aktivität herstellen. Außerdem sollen die Saponine identifiziert werden, die am meisten zur Wirksamkeit beitragen.
2023-2026
Soutenu par le Fonds national de la recherche du Luxembourg (FNR) (O22/17207949) et l'OEuvre nationale.

commect

Überwindung digitaler Klüfte und Bedarfsabdeckung ländlicher Gemeinden mit kosteneffizienten und umweltfreundlichen Verbindungslösungen

In den letzten Jahren haben die Bedeutung und der Bedarf an Breitband- und Highspeed-Konnektivität stetig zugenommen. Die Covid-19-Pandemie hat den Prozess, hin zu einer stärker vernetzten Gesellschaft, sogar beschleunigt. Dies gilt jedoch hauptsächlich für Städte und Ballungszentren. In Europa sind 13 % der Bevölkerung immer noch von "Konnektivität" in jeglicher Form ausgeschlossen. Dies betrifft vor allem ländliche Regionen, denn aufgrund der geringen kommerziellen Attraktivität erweisen sich Lösungen dort als weitaus schwieriger. COMMECT zielt darauf ab, diese Kluft zu überbrücken, indem es Qualität, Zuverlässigkeit und Sicherheit hinsichtlich des digitalen Zugangs für ländliche Gegenden verfolgt. Das Ziel, die Breitbandanbindung in abgelegenen Gebieten auszubauen, wird durch die Integration nicht-terrestrischer Netzwerke mit terrestrischen XG-Mobilfunknetzen und kostengünstigem Internet of Things (IoT) erreicht. Künstliche Intelligenz, Edge- und Netzwerkautomatisierung werden den Energieverbrauch sowohl auf Verbindungs- als auch auf Rechenebene reduzieren. Ein partizipatorischer Ansatz mit Nutzern und IT-Experten, die gemeinsam an Entwicklungsherausforderungen arbeiten, werden der Schlüssel für die Digitalisierung des Sektors sein. COMMECT wird dabei den intensiven Austausch von Best-Practice und technischem Wissen zwischen den verschiedenen Akteuren der Agroforst-Wertschöpfungskette aufbauen. Fünf Living Labs (Modellregionen) inner- und außerhalb Europas wurden eingerichtet, in denen für Endnutzer „Probleme“ und „Nutzen“ der Verbindungsmöglichkeiten aus verschiedenen Perspektiven abgeleitet werden. Das "Living Lab Luxembourg", in dem auch der Arbeitsschwerpunkt des IBLA liegt, setzt sich mit der Digitalisierung des luxemburgischen Weinbaus auseinander. Zu Beginn werden in Workshops die Bedürfnisse der Agierenden (Winzerinnen und Winzer) nach digitalen Flächeninformationen, u.a. für das Management in den Bereichen Bewässerung, Düngung und Pflanzenschutz, ermittelt. Auf dieser Grundlage sollen den Agierenden sowohl relevante Daten für ihre Anbauentscheidungen bereitgestellt werden, als auch entscheidungsunterstützende Systeme nutzbar gemacht werden. In Demonstrationsveranstaltungen soll schließlich das Bewusstsein und die Akzeptanz digitaler Technologien im Weinbau verbessert werden.
2022-2025
Dieses Projekt wird von der Europäischen Union im Rahmen des Forschungs- und Innovationsprogramms Horizont Europa (Nr. 101060881) gefördert.

wasserschutz

Methoden der Biolandwirtschaft zugunsten des Trinkwasserschutzes

Die Landwirtschaft hat über die Bewirtschaftung der Böden einen direkten Einfluss auf das Grund- und Oberflächenwasser und kann daher einen maßgeblichen Beitrag zum Erhalt einer guten Trinkwasserqualität leisten. Die biologische Landwirtschaft ist dem Wasserschutz durch das Wirtschaften nach natürlichen Stoffkreisläufen, eine flächengebundene Tierhaltung, vielfältige Fruchtfolgen und den permanenten Verzicht auf chemisch-synthetische Pflanzenschutzmittel und Düngemittel vom Grunde aus dienlich. Mit finanzieller Unterstützung durch die Trinkwasserversorger Ville de Luxembourg (VdL), dem Syndicat des Eaux du Sud (SES), dem Syndicat des Eaux du Barrage d´Esch-sur-Sûre (SEBES) zusammen mit der Landwirtschaftlech Kooperatioun Uerwersauer (LAKU), der Distribution d'Eau des Ardennes (DEA) und dem Natur- & Geopark Mëllerdall (NGPM) sowie der Administration de la gestion de l’eau (AGE) des Ministère de l’Environnement, du Climat et du Développement durable berät das IBLA Landwirtinnen und Landwirte zu allen Fragen des biologischen Landbaus. Zudem werden Pilotprojekte und Demonstrationsversuche zu wasserschutzrelevanten Themen und Techniken (mechanischen Beikrautregulierung, Anbau von Leguminosen, Alternativkulturen zum Mais) durchgeführt, um Praktiker bei der Bewirtschaftung von Flächen in Wasserschutzgebieten möglichst zielgerichtet und betriebsorientiert zu unterstützen. Darüber hinaus arbeitet das IBLA, stellvertretend für die luxemburgische Biolandwirtschaft, aktiv in diversen Komitees, Arbeitsgruppen und Begleitausschüssen zum Thema (Trink-)Wasserschutz mit.
seit 2017

merkblätter

Erstellung von Merkblättern für die Biologische Landwirtschaft

Um Landwirtinnen und Landwirten die Grundlagen der biologischen Landwirtschaft sowie neue wissenschaftliche und zugleich praxisrelevante Erkenntnisse aus dem Bereich zur Verfügung zu stellen, bedarf es fachspezifischer Schriftmaterialen, die in erster Linie auf Praktiker ausgerichtet sind. Seit 2009 beteiligt sich das IBLA bereits in Zusammenarbeit mit europäischen Partnern wie dem Forschungsinstitut für biologischen Landbau (FIBL) an der Erstellung und Herausgabe solcher Informationsmaterialien. Damit die Zielgruppe der luxemburgischen Landwirtschaft möglichst bedarfsgerecht informiert werden kann, entwirft das IBLA seit 2021 entsprechende Fachliteratur speziell an den Standtort Luxemburg angepasst. Der Vorteil einer solchen Herangehensweise liegt darin, dass die auf der Grundlage von bereits existierenden internationalen Fachbroschüren kommunizierten Erkenntnisse durch eigens erworbene Erfahrungen sowohl zusammengeführt als auch ergänzt werden. Neben der Erstellung und Herausgabe von Merkblättern arbeitet das IBLA mittlerweile auch an Sorteninformationsblättern, welche die Ergebnisse der Sortenprüfungen im biologischen Landbau beinhalten. Diese stellen eine Ergänzung zur nationalen Sortenliste dar und liefern nähergehende Auskünfte zur Pflanzentwicklung, welche den besonderen Informationsbedarf der biologisch wirtschaftenden Betriebe abdecken.
seit 2009

2000 m² für unser essen

Projekt zur Förderung einer nachhaltigen Agrar- und Esskultur

Um sich zu ernähren, nutzt die luxemburgische Bevölkerung im Durchschnitt ca. 3700 m². Jedoch stehen den Einwohnern in Luxemburg pro Kopf nur 2000 m² für die Erzeugung von Lebensmitteln zur Verfügung. Diese Fläche teilt sich zu jeweils 50% in Grünland- und Ackerflächen auf. Die Ackerflächen können zum Anbau von Lebensmitteln zur direkten menschlichen Ernährung (z.B Kartoffeln oder Gemüse) genutzt werden. Mit den Erzeugnissen ist eine gesunde, saisonal vielfältige Ernährung möglich, wobei auch Futtermittel zur Produktion tierischer Lebensmittel angebaut werden können. Die zur Verfügung stehenden 1000 m² Grünland werden für die Rinderhaltung genutzt, denn nur diese können die Grasflächen optimal verwerten. Am "Haus vun der Natur" wird dies auf einer Demonstrationsfläche von 2000 m² veranschaulicht und für die Öffentlichkeit begehbar gemacht. Hier werden in biologischer Wirtschaftsweise regionale Kulturen in den Flächenanteilen angebaut, wie sie eine mögliche, gesunde Ernährungsweise der luxemburgischen Bevölkerung darstellen könnte. Auf der Projektfläche werden Möglichkeiten einer umweltfreundlichen Ernährung aufgezeigt und die Menge der mit dem Anbau verbundenen klimaschädlichen Treibhausgasen dargestellt. Wir heißen Sie am "Haus der Natur" herzlich willkommen, melden Sie sich einfach bei uns!
2018-2025

essais de variétés

en agriculture biologique au Luxembourg

L'objectif des essais variétaux est de pouvoir donner aux exploitations biologiques du Luxembourg des recommandations pertinentes pour le choix des variétés. Pour ce faire, des essais variétaux de céréales d'hiver en culture biologique ont été réalisés pour la première fois en 2009/2010 par l'IBLA en coopération avec le Lycée Technique Agricole (LTA). Au cours des dernières années, les essais variétaux ont été complétés par d'autres espèces. Sur la base de ces essais, une liste de variétés est publiée chaque année par la commission nationale des variétés afin d'aider les agriculteurs et agricultrices à choisir les variétés.
- Essais variétaux de céréales d'hiver : depuis 2009 - Examens variétaux des céréales de printemps : 2014-2016, et à nouveau depuis 2019 - Examens variétaux des légumineuses : depuis 2021 (auparavant examens variétaux du soja+examens variétaux du trèfle+examens variétaux des pois et féveroles) - Examens variétaux de pommes de terre : depuis 2016
Avec le soutien de l'Œuvre Nationale et le ministère de l’Environnement, du Climat et du Développement durable.